S’adressant à ceux qui avaient rêvé d'être rois de Corse, s'éleva alors la voix de la statue paoline, voix profonde et vibrante, comme portée par des ondes venues du fond des temps : " Ce que j’ai fait, moi aussi je l’ai fait pour la nation, mais du moins reste-t-il des traces tangibles du temps réel de notre indépendance : la Constitution, l’université à nouveau réinstallée dans notre capitale et aussi ma bonne ville d’Île Rousse. Mais de vous que reste-t-il ? Rien que vos cendres et la cendre de vos actes et de vos discours.